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Top 10 des erreurs à éviter lors du déploiement d’un projet d’affichage dynamique

L’affichage dynamique s’est imposé comme un outil incontournable pour capter l’attention, transmettre un message en temps réel et moderniser la communication. Que ce soit dans un magasin, une entreprise, un établissement public ou même une salle d’attente, les écrans se multiplient, et avec eux, les attentes.

L’affichage dynamique s’est imposé comme un outil incontournable pour capter l’attention, transmettre un message en temps réel et moderniser la communication. Que ce soit dans un magasin, une entreprise, un établissement public ou même une salle d’attente, les écrans se multiplient, et avec eux, les attentes.

Mais voilà. L’enthousiasme ne suffit pas. Un projet d’affichage dynamique mal pensé, mal exécuté ou mal suivi peut rapidement devenir un gouffre financier, un casse-tête technique ou, pire, un écran noir inutile au mur. Pas très dynamique tout ça.

Voici donc un tour d’horizon des 10 erreurs les plus fréquentes qu’on voit encore trop souvent sur le terrain. Et surtout, comment les éviter.

Négliger la définition des objectifs

C’est l’erreur numéro un. Lancer un projet sans avoir pris le temps de se poser la question : pourquoi fait-on ça ?

Informer le public ? Promouvoir des offres ? Orienter les visiteurs ? Motiver les équipes ? Tout est possible. Mais encore faut-il le définir clairement, dès le départ. Sans objectifs concrets, mesurables, il devient impossible de juger l’efficacité du dispositif. Et là, c’est la porte ouverte aux écrans qui diffusent… un peu tout et n’importe quoi.

Sous-estimer l’importance du contenu

Un écran, ce n’est pas magique. Il ne crée pas du contenu tout seul. Et s’il reste vide, mal animé ou illisible, il ne sert à rien.

Beaucoup oublient que l’affichage dynamique, c’est avant tout une question de messages. Des messages clairs, visuellement impactants, cohérents avec l’identité de l’entreprise. Et surtout, régulièrement mis à jour. Sinon, c’est un peu comme laisser un PowerPoint tourner en boucle pendant six mois. Sans valeur ajoutée.

Des spécialistes comme Neotess accompagnent justement les entreprises pour améliorer leur communication avec l’affichage dynamique. Et ils insistent sur un point essentiel : la stratégie éditoriale doit être pensée avant le déploiement, pas après.

Choisir un matériel inadapté

Un écran n’est pas qu’un écran. Et non, celui du salon ne fera pas l’affaire pour un hall d’accueil baigné de lumière naturelle.

Le choix du matériel dépend du lieu, de la luminosité, de la distance d’affichage, de la durée d’utilisation… et du budget bien sûr. Investir dans du matériel professionnel, robuste, conçu pour tourner en continu, évite bien des soucis à moyen terme. Mieux vaut payer un peu plus cher au début que de devoir tout remplacer au bout d’un an.

Oublier l’audio ou l’accessibilité

Ce point-là est souvent zappé. Pourtant, dans certains contextes, le son est indispensable. Dans d’autres, il est impossible. Et dans tous les cas, il faut penser aux personnes en situation de handicap.

Des sous-titres, une synthèse vocale, des contrastes adaptés… Ce sont des détails qui changent tout pour l’expérience utilisateur. Et surtout, ce sont des obligations légales dans bien des cas. Anticiper ces éléments évite de devoir tout revoir plus tard.

Ignorer les contraintes techniques

On branche, ça s’allume, ça marche ? Pas toujours. Une bonne installation nécessite un minimum de préparation technique.

Alimentation, connectivité réseau, ventilation, sécurité… Ce sont des sujets pas très sexy, mais cruciaux. Trop de projets échouent parce qu’on découvre trop tard qu’il n’y a pas de prise, pas de wifi stable, ou pas de plan B en cas de coupure.

Ne pas impliquer les bonnes parties prenantes

Autre piège classique : croire que l’affichage dynamique est un sujet purement technique. Spoiler : ce ne l’est pas.

Les équipes IT sont indispensables, bien sûr. Mais il faut aussi embarquer la communication, le marketing, les RH parfois, et ceux qui utiliseront les écrans au quotidien. Un projet mené en silo est un projet qui rate sa cible.

Mauvaise gestion du planning de déploiement

On veut aller vite, mais tout prendre de court, c’est rarement une bonne idée. À l’inverse, traîner des mois sans avancer peut démobiliser tout le monde.

Le bon rythme, c’est celui qui permet de tester, d’ajuster, de corriger. Un pilote bien mené vaut mieux qu’un déploiement précipité. Et un écran bien installé aujourd’hui vaut mieux qu’un mur vide depuis six mois.

Négliger la maintenance et la supervision

Un écran qui ne s’allume plus, un contenu bloqué sur une date dépassée, une météo affichée avec trois jours de retard… Ça donne une mauvaise image. Très mauvaise même.

La supervision et la maintenance doivent faire partie du projet dès le départ. Avec des alertes automatiques, un plan d’intervention clair, et des ressources allouées pour tenir dans la durée. Car oui, l’affichage dynamique vit dans le temps. Et il faut l’accompagner.

Ne pas former les utilisateurs

On installe, on remet les clés, et on disparaît ? Mauvaise idée.

Les équipes qui vont gérer les contenus ont besoin d’une vraie formation. Simple, pratique, continue. Sinon, les erreurs vont s’accumuler, les contenus vieillir, et les écrans perdront tout intérêt.

Et ce n’est pas une question de compétences techniques. Même les outils les plus simples méritent un temps d’apprentissage. Parce qu’un outil mal compris est rarement bien utilisé.

Oublier d’analyser les résultats

Dernier point, et pas des moindres : comment savoir si tout ça fonctionne ?

L’affichage dynamique, comme tout canal de communication, doit être mesuré. Combien de vues ? Quel impact sur les ventes ? Sur la fréquentation d’un point d’accueil ? Sur l’image de marque ?

Les données existent. Encore faut-il les collecter, les lire, les comprendre… et en faire quelque chose. Car c’est en analysant qu’on améliore. Et c’est en améliorant qu’on rend l’affichage dynamique vraiment stratégique.

Conclusion

L’affichage dynamique peut transformer la manière dont une entreprise communique. C’est un levier fort, visuel, réactif. Mais c’est aussi un projet exigeant, qui demande méthode, rigueur et collaboration.

Chaque erreur évitable, c’est du temps, de l’argent, de l’énergie préservés. Chaque écran bien utilisé, c’est une chance de plus de capter l’attention, de convaincre, de fidéliser.

En évitant ces 10 pièges, on se donne les meilleures chances de réussir. Et de faire de l’affichage dynamique un vrai atout. Pas juste un écran de plus au mur.